Gibt es ein Recht auf Faulheit?
Le seul fait de discuter d'un droit justiciable à l'oisiveté paraît, dans notre société rivée sur le travail, quelque peu audacieux. D'autres époques et sociétés ont cependant défini l'oisiveté de manière différente. Un voyage à travers la philosophie, la littérature, le théâtre et la politique révèle que l'oisiveté n'avait (et n'a) pas toujours une connotation négative. La contribution présente la manière dont Luther, Zwingli, Kant, Smith, Marx, Engels et autres sont parvenus à stigmatiser le fait de ne pas vouloir travailler et dans quelle mesure notre ordre juridique actuel s'en trouve affecté. L'oisiveté n'est pas non plus, du moins pour l'instant, un mode de vie protégé par l'interdiction de discrimination inscrite dans le droit constitutionnel. (nse)
Inhaltsverzeichnis
- I. Gibt es ein Recht auf Faulheit?
- II. Von der Vertreibung aus dem Paradies zur Seligwerdung durch Arbeit und vom Recht zur Pflicht zur Arbeit
- III. Faulheit und Müssiggang als Widerstand
- IV. (Menschen)rechte für Faule – und ihre Grenzen
- V. Was wäre wenn …
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