Schrille Kritik der «Roten Anneliese» ist keine üble Nachrede
Le Tribunal fédéral a examiné avec soin la prose combative du journal d’opposition haut-valaisan «Rote Anneliese». En 2004, le mensuel avait sévèrement critiqué la façon énergique dont un politicien PCS haut-valaisan bien connu, qui dirige sur un plan à la fois stratégique et opérationnel une maison de retraite et un foyer pour handicapés, licenciait du personnel. Le rédacteur, accusé de diffamation (art. 173 CP), a été acquitté par le Tribunal fédéral, bien que ce dernier eût qualifié certains de ses propos d’«incisifs et tapageurs». Les juges valaisans auraient attribué au journaliste des affirmations qu’il n’avait en réalité jamais soutenues et qui n’avaient pas été alléguées par le procureur.
Inhaltsverzeichnis
- 1. Was hat die «Rote Anneliese» dem prominenten CSP-Politiker an den Kopf geworfen?
- 2. Der Ruf, ein ehrbarer Mensch zu sein – Tatbestand und Strafbarkeit
- 3. Tatsachenbehauptungen müssen «in den wesentlichen Zügen» wahr, Wertungen «vertretbar» sein
- 4. Nicht «Eindrücke» beim Leser, sondern die einzelnen Tatsachenbehauptungen sind zu prüfen
- 5. Anders als vor 2006 kann die strafrechtliche Abteilung in der Sache entscheiden
- 6. Fazit
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