Piratenbekämpfung auf hoher See – vorab ein Hindernislauf durch rechtliches Dickicht auf heimischem Boden
Une éventuelle participation de forces militaires suisses à l’opération navale anti-piraterie EU NAVFOR Atalanta cache plus de problèmes juridiques que cela a été communiqué. Il existe un antogonisme entre le besoin de solidarité internationale commandé par des motifs de politique extérieure et la prise en compte d’intérêts juridiques incontestables relevant du droit international et des droits fondamentaux dans la riposte au danger. Le dilemme qui en résulte ne doit pas être laissé aux seules mains de l’armée ou des forces de police. (cli)
Inhaltsverzeichnis
- 1. Piratenbekämpfung ist eine Polizeiaufgabe
- a) auf Schiffen unter Schweizer Flagge zu deren Schutz
- b) auf Schiffen anderer Staaten
- 2. Zum Einsatz von Armeeangehörigen
- a) in der Polizeifunktion
- b) in der Form eines subsidiären Sicherungseinsatzes (Art. 67 – 75 MG)
- aa) Humanitäre Hilfeleistungen (Art. 69 Abs. 1 MG)
- bb) Schutz von Personen und besonders schutzwürdigen Sachen der Schweiz im Ausland (Art. 69 Abs. 2 MG)
- cc) Interpretationsfrage
- c) Bezug von Art. 69 MG zur BV und Zwischenergebnis
- aa) de lege lata
- bb) de lege ferenda
- d) Zum Schusswaffeneinsatz insbesondere
- 3. Ergänzende Anmerkungen
- 4. Fazit
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