EGMR Lacatus gegen die Schweiz vom 19. Januar 2021
Dans son arrêt du 19 janvier 2021, la CourEDH déclare qu'une amende ou une peine privative de liberté pour mendicité purement passive viole l'art. 8 CEDH. La présente analyse de cet arrêt conclut que les considérations sur l'interférence avec l'art. 8 CEDH sont convaincantes. Moins convaincante, cependant, est l'absence de traitement de la question dans le contexte de l'art. 10 CEDH et de l'art. 14 en lien avec l’art. 8 CEDH. Cet arrêt a des conséquences pour les cantons et les communes. Ils doivent adapter les interdictions correspondantes, en veillant notamment à ce qu'elles soient suffisamment précises pour permettre la poursuite d'un intérêt public licite. (xf)
Inhaltsverzeichnis
- 1. Hintergrund des Falls und Sachverhalt
- 2. Urteil des Europäischen Gerichtshofs für Menschenrechte
- 2.1. Einordnung mit Blick auf die Praxis der Mitgliedstaaten und internationale Rechtsgrundlagen
- 2.2. Subsumtion des Sachverhalts unter die Garantien der EMRK
- 2.3. Beurteilung des Eingriffs in Art. 8 EMRK (Recht auf Privatleben)
- 2.4. Separate Meinungen zur Betroffenheit der Garantien von Art. 10 EMRK respektive von Art. 14 i.V.m. Art. 8 EMRK
- 3. Einschätzung
- 3.1. Beurteilung des Eingriffs in das Recht auf Privatleben nach Art. 8 EMRK durch den Gerichtshof
- 3.2. Bettelverbote: Freiheit der persönlichen Lebensgestaltung oder Meinungsfreiheit?
- 3.3. Bettelverbote als eine Form der (indirekten) Diskriminierung
- 3.4. Exkurs: Betteln als privatwirtschaftliche Tätigkeit i.S.v. Art. 27 BV?
- 4. Auswirkungen auf Bettelverbote in der Schweiz
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